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À la une de l'Antivol
Les Brèves du Satirique, novembre 2025
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L’un des membres de L’Antivol a l’esprit caustique. Sous le nom du « Satirique », un pseudo obligé pour raisons professionnelles, il nous livre ci-dessous sa 30ème série de « brèves », drôles et incisives. L’accès aux précédentes livraisons est, comme d’habitude, en fin d’article.
Pour sortir de l’impasse, osons les utopies !
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« Le droit de l’environnement est mort, vive le droit à polluer ! »
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Dans cette tribune aussi tonique qu’argumentée, 76 juristes et avocats dénoncent une offensive majeure portée contre le droit de l’environnement et contre les populations les plus fragiles, au profit des grandes industries polluantes. Elle a été publiée pour la première fois par la revue Socialter.La Noix Connectée, le meilleur du pire de l’innovation grenobloise
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À L’Antivol, on s’est toujours senti en bonne intelligence – affective, intellectuelle ou politique – avec le journal Le Postillon. Nous avons ainsi chroniqué en 2023 leur premier livre « Le vide à moitié vert. La gauche rouge-verte au pouvoir : le cas de Grenoble » ou republié l’année suivante l’un de leurs articles, « Fairme », qui figure parmi les textes réunis dans leur nouvel ouvrage « La Noix connectée. Le meilleur du pire de l’innovation grenobloise ». En voici la préface qui devrait mettre en appétit tous ceux qui rient autant qu’ils s’inquiètent des symptômes du délire nulmérique...
Ce que nous voulons ? L’autogestion populaire, ici, maintenant, partout !
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Dette et capitalisme de connivence
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Ils font le plein d’argent public, licencient, cajolent leurs actionnaires et n’ont bien sûr pas de mots trop forts contre l’État dépensier. Dans un premier temps, ils doivent donc rendre l’argent, être soumis à une conditionnalité (fiscale, sociale, écologique) pour percevoir des aides, et, cerise sur le gâteau, faire preuve d’un minimum de dignité en arrêtant leurs tartuferies. Dans une deuxième phase, ô combien nécessaire, c’est bien sûr le « cadre » lui-même qui doit être révolutionné, le dépassement du capitalisme de connivence et du capitalisme tout court constituant l’horizon obligé de l’espérance.