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À la une de l'Antivol
À propos de « Quelques lignes d’utopie » de Ludovic Frobert
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Par Ariane Randeau
« Pierre Leroux et la communauté des "imprimeux" (Boussac, 1844-1848) », sous-titre de l’ouvrage, nous conduit dans la Creuse à la rencontre de Pierre Leroux, penseur du socialisme, qui créa à Boussac une communauté porteuse d’un idéal : « le communionisme ».
L’ingé péda, roi du bullshit
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par Romain Deschiffres

Tou(r)s sous surveillance – 2/5. Pour une critique active et engagée de la vidéo-surveillance à Tours
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par J.
L’auteur – prononcer J point… comme point de vidéo-surveillance ! – a récemment proposé à L’Antivol de publier ses écrits sur le sujet. Nous n’avons pas hésité un seul instant, vu leurs qualités tant informatives que réflexives et leurs façons de marier éclairages généraux et enquête locale, en l’espèce tourangelle. Sans oublier quelques pointes d’humour qui ne gâchent rien. Voici donc le deuxième volet d’une série de 5 (voir ici le premier), distribué au format papier durant l’été 2023…
Le Cinéma ou l’homme imaginaire
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Edgar Morin
Passionné de cinéma à l’image de nombre de ses lecteurs, L’Antivol vous propose de lire (ou relire) ci-dessous la préface qu’a écrite en 1977 Edgar Morin pour la réédition de son livre « Le Cinéma ou l’homme imaginaire. Essai d’anthropologie », paru la première fois en 1956 aux Éditions de Minuit. Ce texte est, à plus d’un titre, de grande valeur. Il constitue d’abord un attachant témoignage sur la vie et les choix intellectuels et politiques de l’auteur, qu’inspire un esprit visiblement avide d’indépendance et de liberté. Le point de vue défendu, la démarche mise en œuvre, qui tiennent en une série de regards croisés, dialectiques, entre l’homme et le cinéma, présentent aussi un caractère original, fécond, captivant ; on y verra, entre autres (!) et moyennant par instants quelques efforts de lecture, combien les impensés et les simplismes binaires de notre culture nous aveuglent, nous limitent dans la compréhension et du cinéma et de l’homme. Enfin, ce qui ne gâte rien, on appréciera tout au long de ce texte, les traits d’humour, les inventivités langagières, les formulations ramassées qui accompagnent si bien une telle qualité de pensée. Bonne lecture donc de la préface, puis du livre…